Tous les vainqueurs des 500 Miles d’Indianapolis !

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Photo de: IndyCar Series
Ray Harroun était parti à la retraite en 1910, mais l’occasion était trop belle de revenir à la compétition pour 800 km de course à Indianapolis ! Le pilote américain s’impose en plus de 6 heures, et en étant le seul pilote à ne pas embarquer de mécanicien, grâce à un dispositif novateur… le rétroviseur !

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Photo de: IndyCar Series
Ralph DePalma domine totalement la course, en menant 196 tours sur sa Mercedes. Il prend même cinq tours au deuxième, Joe Dawson, mais un problème mécanique dans les derniers tours l’empêche de terminer, et donne la victoire à Dawson !

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Photo de: IndyCar Series
Le Français Jules Goux devient le premier étranger à remporter les 500 Miles d’Indianapolis, et l’histoire raconte qu’il l’aurait fait tout en buvant six bouteilles de champagne avec son mécanicien !

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Photo de: IndyCar Series
La France était une nouvelle fois à l’honneur en 1914 puisque René Thomas s’impose devant le Belge Arthur Duray (naturalisé français plus tard), et les Français Albert Guyot et Jules Goux, vainqueur en titre.

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Photo de: IndyCar Series
Après sa terrible défaite de 1912, Ralph DePalma remporte l’édition 1915 et devient le premier pilote à parcourir les 500 Miles en moins de six heures.

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Photo de: IndyCar Series
En 1916, la course a été raccourcie à 300 miles (480 km), dans le but de rendre l’épreuve plus attractive pour les fans. Dario Resta a dominé la course, qui est revenue à sa distance de 500 miles dès l’épreuve suivante.

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Photo de: IndyCar Series
Après deux ans d’interruption en raison de la guerre mondiale, les 500 Miles d’Indianapolis reviennent en 1919. Le vainqueur de 1914, René Thomas, signait la pole position, pendant que Ralph DePalma menait la majorité de l’épreuve. Mais, en proie à des problèmes de pneus, il devait se contenter de la sixième position, loin derrière le vainqueur Howdy Wilcox.

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Photo de: IndyCar Series
Un nom bien célèbre dans le monde de l’automobile, Gaston Chevrolet apporte la troisième et dernière victoire française à Indianapolis, avant d’être ensuite naturalisé américain.

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Photo de: IndyCar Series
Une nouvelle fois, Ralph DePalma domine la course, mais un problème mécanique le contraint à l’abandon peu après la mi-distance. Il prend sa retraite après cette course avec une victoire et 612 tours menés, un record égalé par Al Unser… en 1987 ! Tommy Milton remporte son premier Indy 500.

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Photo de: IndyCar Series
Jimmy Murphy devient le premier vainqueur à remporter l’Indy 500 en partant de la pole position.

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Photo de: IndyCar Series
Deux ans après son premier succès, Tommy Milton devient le premier double vainqueur de l’épreuve ! Il s’est toutefois fait remplacer par Howdy Wilcox pendant 48 tours, le temps de mettre des bandages sur ses mains ensanglantées par l’effort, et de changer de chaussures.

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Photo de: IndyCar Series
Pour la première fois de l’Histoire, deux pilotes remportent les 500 Miles d’Indianapolis, Lora L. Corum ayant démarré la course avant de se faire remplacer au 112e tour par Joe Boyer, qui a ramené la voiture en tête sur la ligne d’arrivée !

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Photo de: IndyCar Series
Peter DePaolo rentre dans l’Histoire en devenant le premier pilote à compléter les 500 Miles à plus de 100 mph (160 km/h) de moyenne, et donc en moins de cinq heures !

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Photo de: IndyCar Series
Frank Lockhart devient le premier pilote à remporter un Indy 500 interrompu par la pluie, après 400 miles.

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Photo de: IndyCar Series
George Souders remporte l’épreuve avec huit tours d’avance, et devient le premier pilote à s’imposer en solitaire, sans avoir besoin d’un pilote de remplacement, ou d’un mécanicien embarqué !

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Photo de: IndyCar Series
A vingt tours de la fin, Meyer n’était qu’en troisième position, mais des problèmes pour les deux premiers lui permettent de remporter pour la première fois les 500 Miles d’Indianapolis !

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Photo de: IndyCar Series
Ray Keech remporte l’Indy 500 dans une voiture appartenant à Maude A. Yagle, la seule femme-propriétaire à avoir remporté la course !

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Photo de: IndyCar Series
Billy Arnold a assommé la concurrence en 1930, en menant 198 des 200 tours de course !

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Photo de: IndyCar Series
Une nouvelle fois, c’est Billy Arnold qui a dominé l’épreuve, menant 155 tours, mais un accident au 162e tour le privait d’un deuxième succès. Une roue de sa voiture s’est détachée, est sortie de l’enceinte du circuit, et est allée tuer un enfant de onze ans qui jouait dans son jardin. Après cet accident, Louis Schneider prenait la tête pour ne plus la lâcher.

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Photo de: IndyCar Series
Parti de la 27e position, Fred Frame a profité des problèmes des autres pilotes mais aussi d’une belle remontée pour s’imposer malgré six arrêts aux stands, pour combattre un moteur surchauffant.

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Photo de: IndyCar Series
La deuxième victoire de Meyer arriva dans des circonstances tragiques, puisque cinq concurrents ont perdu la vie durant le mois de mai.

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Photo de: IndyCar Series
La course fut la plus serrée de l’Histoire à ce moment, avec moins de trente secondes d’écart entre Cummings et Mauri Rose, deuxième.

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Photo de: Indianapolis Motor Speedway
Kelly Petillo ne finira jamais mieux que 18e après cette victoire, obtenue lors d’un autre mois meurtrier, malgré l’obligation pour les pilotes de porter un casque.

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Photo de: IndyCar Series
Meyer devient le premier triple vainqueur de l’Indy 500, et en plus de l’introduction du BorgWarner Trophy, cette édition marque le début d’une tradition mythique, puisque Louis Meyer a demandé un verre de lait après sa victoire !

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Photo de: IndyCar Series
L’édition 1937 des 500 Miles d’Indianapolis devait être une promenade de santé pour Wilbur Shaw, mais le pilote américain a commencé à perdre de l’huile en fin d’épreuve. Voulant ramener la voiture à l’arrivée, il commençait alors à ralentir, ce qui a permis au deuxième, Ralph Hepburn, de revenir, et de reprendre son tour de retard. Au final, après avoir soigneusement épargné sa mécanique, Shaw s’impose pour moins de trois secondes, et la nouvelle arrivée la plus serrée de l’histoire.

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Photo de: IndyCar Series
Roberts devient le premier pilote à s’imposer depuis la pole position depuis 1930, lors d’une course qui a vu les tentatives de qualification du légendaire Tazio Nuvolari, qui n’a pas réussi à se placer dans le peloton.

27/102
Photo de: IndyCar Series
Wilbur Shaw remporte son deuxième Indy 500 lors d’une course endeuillée par le décès du vainqueur en titre, Floyd Roberts.

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Photo de: IndyCar Series
Wilbur Shaw devient le deuxième pilote à s’imposer à trois reprises, et le premier à l’emporter deux ans de suite. Les 50 derniers tours de l’épreuve ont été parcourus sous drapeau jaune, en raison de la pluie.

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Photo de: IndyCar Series
Pour la deuxième et dernière fois, deux pilotes se partagent la victoire, le propriétaire de la voiture n’étant pas satisfait de la performance de Davis, et décidant de le remplacer en pleine course !

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Photo de: IndyCar Series
Lors de la deuxième guerre mondiale, le Speedway a été fermé, les compétitions automobiles étant interdites. Mal entretenu, le circuit était alors dans un état déplorable jusqu’au rachat par Tony Hulman, qui a alors débuté un énorme travail de remise en état, pour la course de 1946, remportée par George Robson.

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Photo de: IndyCar Series
Mauri Rose était en deuxième position derrière son équipier Bill Holland, quand un panneau avec les lettres « EZY » était présenté à ce dernier. Holland a alors ralenti, permettant à Rose de le rattraper. Mauri Rose dépassait alors son équipier, en lui adressant un signe de la main, Holland pensant mener avec un tour d’avance.

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Photo de: IndyCar Series
Troisième victoire à Indianapolis pour Mauri Rose, une nouvelle fois devant son équipier Bill Holland, mais sans controverse cette fois !

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Photo de: IndyCar Series
Holland parvient enfin à s’imposer, et à donner une troisième victoire consécutive à l’écurie de Lou Moore. Son équipier Mauri Rose sera licencié sur le champ, après avoir une nouvelle fois désobéi aux ordres de son équipe.

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Photo de: IndyCar Series
La course fut stoppée après 138 tours pour cause de pluie, une aubaine pour Johnnie Parsons, dont la rumeur voulait que son moteur soit incapable de terminer les 500 miles à cause d’un problème décelé le matin de l’épreuve. Fait avéré ou rumeur, nous ne le saurons jamais…

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Photo de: IndyCar Series
Seules huit voitures ont vu l’arrivée en 1951, et celle de Lee Wallard souffrait d’un problème de freins, d’un échappement cassé et d’un amortisseur détruit !

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Photo de: IndyCar Series
Troy Ruttman est devenu le plus jeune pilote à remporter l’Indy 500 à 22 ans et 80 jours, un record qui tient encore aujourd’hui. Il devenait également à l’occasion le plus jeune vainqueur d’une course de Formule 1, puisque l’Indy 500 faisait partie du championnat du monde jusqu’en 1959. Le record fut battu par Fernando Alonso.

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Photo de: IndyCar Series
La course de 1953 reste connue comme étant l’édition la plus chaude de l’Indy 500, pourtant, Bill Vukovich a réussi à terminer les 500 miles sans pilote de remplacement.

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Photo de: IndyCar Series
Menant près de la moitié de la course, Bill Vukovich devient un double vainqueur des 500 Miles d’Indianapolis.

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Photo de: Indianapolis Motor Speedway
Bien parti pour décrocher une troisième victoire à Indianapolis, Bill Vukovich est victime d’un accident et se tue. Bob Sweikert s’impose alors.

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Photo de: Indianapolis Motor Speedway
Un changement de taille est survenu sur le Speedway en 1956, avec la pose d’asphalte sur la quasi-totalité de la piste, seule la ligne droite des stands restant en briques. Pat Flaherty domine l’épreuve.

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Photo de: IndyCar Series
Après 13 tentatives, Sam Hanks remporte enfin les 500 Miles d’Indianapolis, et prend alors sa retraite sportive.

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Photo de: IndyCar Series
Dans la même voiture que Sam Hanks l’année précédente, Jimmy Bryan remporte les 500 Miles, lors d’une course qui a vu les débuts d’un certain Anthony Joseph Foyt…

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Photo de: IndyCar Series
Rodger Ward remporte pour la première fois l’Indy 500, devant Jim Rathmann.

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Photo de: IndyCar Series
La course de 1960 reste dans la légende de l’Indy 500 de par le duel immense que se sont livrés Jim Rathmann et le vainqueur de l’année précédente, Rodger Ward. Rathmann en sortait vainqueur, après 29 changements de leader à la ligne !

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Photo de: IndyCar Series
A.J. Foyt remporte sa première course après un arrêt en toute fin d’épreuve d’Eddie Sachs, dont les pneus commençaient à être extrêmement usés.

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Photo de: IndyCar Series
Parnelli Jones est devenu le premier pilote à dépasser les 150 mph (241 km/h) de moyenne en qualifications, mais c’est finalement Rodger Ward qui s’est montré le plus rapide en course, pour décrocher son deuxième succès à Indy.

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Photo de: IndyCar Series
Parnelli Jones remporte l’Indy 500 face à la Lotus à moteur arrière de Jim Clark, malgré une fuite d’huile sur la majorité de l’épreuve.

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Photo de: IndyCar Series
Le Texan remporte une édition plombée par le terrible accident du deuxième tour, qui a plongé le Speedway dans une large fumée noire, et a provoqué le décès d’Eddie Sachs et Dave MacDonald.

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Photo de: Indianapolis Motor Speedway
Jim Clark offre la première victoire d’un moteur arrière à Indianapolis, et il devient le premier pilote non-Américain à s’imposer depuis 1920.

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Photo de: Indianapolis Motor Speedway
Le Rookie Graham Hill succède à son compatriote un an plus tard, au cours d’une course dominée par un autre Rookie du nom de Jackie Stewart…

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Photo de: IndyCar Series
« Super Tex » remporte sa troisième victoire aux 500 Miles d’Indianapolis en évitant de justesse un carambolage devant lui dans le dernier tour. Parnelli Jones semblait parti vers une deuxième victoire avec une voiture à turbine, mais il était contraint à l’abandon à trois boucles du but.

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Photo de: IndyCar Series
Bobby Unser devient le premier pilote à remporter l’Indy 500 avec un moteur turbo, au cours d’une course qui a vu la dernière participation d’une voiture à moteur avant.

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Photo de: IndyCar Series
Malgré un accident aux essais, Mario Andretti remporte en 1969 sa seule victoire à Indianapolis, malgré plus de 30 tentatives.

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Photo de: IndyCar Series
Avec la mythique « Johnny Lightning Special », Al Unser remporte pour la première fois l’Indy 500, en menant 190 des 200 tours.

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Photo de: IndyCar Series
Unser a facilement remporté sa deuxième victoire à Indianapolis, et est devenu le seul pilote à gagner la course le jour de son anniversaire.

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Photo de: IndyCar Series
Mark Donohue signe la première victoire de McLaren au Speedway, et surtout, la première victoire d’un certain Roger Penske…

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Photo de: IndyCar Series
Johncock est sorti vainqueur d’un mois absolument catastrophique au Speedway, entre de multiples reports en raison de la météo et les gros crashs de Salt Walther au départ et de Swede Savage en course, ce dernier décédant quelques semaines plus tard.

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Photo de: IndyCar Series
Un an après une année 1973 terrible, Johnny Rutherford s’impose pour sa onzième tentative au cours d’une course heureusement plus tranquille ! C’est également la première fois que l’épreuve est programmée un dimanche.

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Photo de: IndyCar Series
La course de 1975 fut marquée, comme vous pouvez le constater, par une énorme averse en fin d’épreuve, qui n’a pas empêché Bobby Unser de s’imposer !

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Photo de: IndyCar Series
Pour la première fois de l’Histoire, la course est arrêtée avant la fin pour cause de pluie deux ans de suite. Johnny Rutherford remporte l’Indy 500 le plus court de tous les temps, après seulement 102 tours !

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Photo de: IndyCar Series
Alors que certains le décrivaient déjà comme « has-been », A.J. Foyt s’impose, dix ans après sa dernière victoire à Indy, et il devient le premier homme à l’emporter à quatre reprises.

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Photo de: IndyCar Series
Après les décès de Tony Hulman (propriétaire du circuit) et de huit membres-clés de l’USAC (qui gère le championnat d’IndyCar), les tensions grimpaient entre les propriétaires et l’USAC, ce qui donnait le dernier Indy 500 avant la scission et l’apparition du CART.

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Photo de: Indianapolis Motor Speedway
Une Légende est née avec la première victoire de Rick Mears aux 500 Miles, lors d’un mois pourri par la controverse, et qui résultait en la présence de 35 voitures sur la grille, au lieu des 33 habituelles.

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Photo de: IndyCar Series
Pour la première fois, l’effet de sol était utilisé majoritairement sur une monoplace de l’Indy 500, ce qui a permis à Johnny Rutherford de dominer avec la « Yellow Submarine », et de remporter pour la troisième fois la course mythique.

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Photo de: IndyCar Series
Quelle histoire ! Bobby Unser passait la ligne d’arrivée en vainqueur en 1981, avant d’être pénalisé d’un tour pour avoir passé des voitures sous drapeau jaune ! Mario Andretti récupérait alors la victoire, et effectuait toutes les photos officielles le lundi. L’écurie Penske n’avait pas dit son dernier mot, faisait appel de la sanction et le 9 octobre, soit plus de quatre mois après la course, Unser récupérait son troisième succès dans l’Indiana !

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Photo de: IndyCar Series
La journée avait démarré par un crash avant même le départ de l’épreuve, impliquant notamment A.J. Foyt et Mario Andretti, mais au final, après un duel haletant, Gordon Johncock remporte la course avec 0,16 seconde d’avance sur Rick Mears, le plus petit écart de l’Histoire à ce moment !

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Photo de: IndyCar Series
Après trois deuxième places, « Gas Man » remporte enfin les 500 Miles d’Indianapolis, mais pas sans tension, car il a dû dépasser Al Unser dans les derniers tours, ce dernier étant aidé par son fils Al Unser Jr., alors à plusieurs tours de retard !

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Photo de: IndyCar Series
Après des qualifications qui ont vu le premier tour de l’Histoire à plus de 210 mph de moyenne (338 km/h) par Tom Sneva, Rick Mears a dominé l’épreuve, terminant avec deux tours d’avance sur son plus proche poursuivant.

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Photo de: IndyCar Series
L’une des images les plus incroyables de l’Histoire de l’Indy 500. Danny Sullivan (à gauche) prend la tête en dépassant Mario Andretti, mais il part immédiatement en tête-à-queue ! Miraculeusement, le pilote Penske ne touche rien, repart, et va même gagner la course plus tard !

70/102
Photo de: IndyCar Series
Kevin Cogan, instigateur du crash du départ quatre ans plus tôt, se retrouve alors en tête dans les derniers tours. Un drapeau jaune est agité au 194e passage, et la course relancée au 199e. Bobby Rahal prend un meilleur envol, dépasse Cogan et s’envole vers sa seule victoire à Indianapolis.

71/102
Photo de: IndyCar Series
En arrivant au mois de mai 1987, Al Unser n’avait pas de volant. Chez Penske, Danny Ongais s’étant blessé lors des essais, il fallait un remplaçant, et Unser était tout trouvé. Mais avec un châssis vieux d’un an, la tâche s’annonçait compliquée ! Roberto Guerrero menait l’épreuve jusqu’à son dernier arrêt, où un embrayage récalcitrant l’empêchait de repartir, et offrait ainsi sa quatrième victoire à Unser !

72/102
Photo de: IndyCar Series
1988 marquait le retour en forme des châssis maison chez Penske, puisque les équipiers de l’écurie du Capitaine menaient 192 des 200 tours, avec une troisième victoire pour Rick Mears.

73/102
Photo de: Ron McQueeney – IMS
Le double Champion du monde de F1 gonfle encore un peu plus son impressionnant CV avec une victoire à Indianapolis, obtenue après un combat de titans avec Al Unser Jr., les deux hommes se percutant dans le virage n°3 à deux tours du but !

74/102
Photo de: IndyCar Series
Après la domination d’Emerson Fittipaldi en première partie d’épreuve, c’est Luyendyk qui s’emparait des commandes et remportait ainsi sa première course en IndyCar, et l’édition la plus rapide de l’Indy 500 par la même occasion ! Ce record sera battu en 2013.

75/102
Photo de: IndyCar Series
Rick Mears remporte sa quatrième victoire à Indianapolis, devenant le troisième pilote à réaliser cet exploit, après un formidable duel contre Michael Andretti, qui termine deuxième.

76/102
Photo de: IndyCar Series
L’arrivée la plus serrée à ce jour, après une journée pleine d’accidents et de rebondissements. Après 160 tours en tête, Michael Andretti tombe en panne à 10 boucles du but, laissant Unser Jr. et Goodyear se battre pour la victoire, Unser l’emportant de justesse.

77/102
Photo de: IndyCar Series
Dans les derniers tours, la bataille opposait le Champion du monde de F1 en titre Nigel Mansell à Emerson Fittipaldi et Arie Luyendyk. Lors du dernier restart, le Brésilien prend la tête à l’Anglais et remporte l’Indy 500 pour la deuxième fois, et crée un scandale en buvant… du jus d’orange sur la Victory Lane !

78/102
Photo de: IndyCar Series
L’incroyable moteur Mercedes, développant plus de 1000cv, a permis à Penske de dominer le mois de mai, mais c’est Al Unser Jr. qui s’impose, après l’accident d’Emerson Fittipaldi dans les derniers tours, alors qu’il avait un tour d’avance sur son équipier !

79/102
Photo de: IndyCar Series
Le Canadien est revenu après avoir été pénalisé de deux tours en début de course, pour se trouver en deuxième position avant le dernier restart. Son compatriote Scott Goodyear accélère trop tôt, dépasse le Pace Car et est ensuite disqualifié, Villeneuve remportant ainsi l’Indy 500 avant de partir vers la F1 chez Williams.

80/102
Photo de: IndyCar Series
1996 marquait la première année de l’Indy Racing League, et ainsi les stars de l’IndyCar n’étaient pas à Indianapolis au mois de mai, permettant à d’autres pilotes de s’illustrer, à l’instar de Buddy Lazier, gravement blessé au dos deux mois plus tôt à Phoenix. En qualifs, Arie Luyendyk réalise un record du tour qui tient encore aujourd’hui.

81/102
Photo de: IndyCar Series
La cacophonie a régné sur la fin de l’épreuve, l’USAC décidant de neutraliser l’épreuve à deux tours de la fin, suite à un contact avec le mur de Tony Stewart. Alors que les feux sont toujours au jaune tout autour du circuit, la direction de course agite le drapeau vert, Luyendyk, alors en tête, descend violemment un rapport et s’en va s’imposer une deuxième fois à Indianapolis devant son équipier Scott Goodyear. C’est la dernière fois à ce jour que l’Indy 500 a été reporté à une autre journée, le mardi pour être exact.

82/102
Photo de: IndyCar Series
Cheever devient le seul pilote/propriétaire de l’ère-IRL à remporter l’Indy 500, et il signe la première victoire d’une longue série pour Dallara.

83/102
Photo de: Indianapolis Motor Speedway
Kenny Bräck devient le premier Suédois à remporter les 500 Miles d’Indianapolis, et il apporte une cinquième victoire à A.J. Foyt, lorsque le leader Robby Gordon tombe en panne d’essence à l’aube du dernier tour.

84/102
Photo de: IndyCar Series
Le Chip Ganassi Racing est la première écurie à revenir du CART aux 500 Miles d’Indianapolis, et Juan Pablo Montoya mène 167 tours pour devenir le premier Rookie à s’imposer depuis Graham Hill en 1966.

85/102
Photo de: KOZ
Rebelote en 2001, le CART s’impose à Indianapolis, avec un certain Helio Castroneves pour le Team Penske, et le Brésilien a fêté sa victoire en grimpant au grillage !

86/102
Photo de: Greg Gage
Castroneves devient le premier pilote depuis Al Unser en 1971 à s’imposer deux ans de suite à Indy, malgré une arrivée controversée, où Paul Tracy était persuadé d’avoir gagné. Le résultat officiel et final n’est arrivé que dans l’été.

87/102
Photo de: Michael Kim
Le pilote Brésilien s’impose dans les mêmes conditions que Buddy Lazier en 1996, en se remettant de diverses fractures au dos consécutives à un accident à Phoenix en début de saison.

88/102
Photo de: Earl Ma
L’Américain remporte la victoire pour l’écurie de Bobby Rahal au cours d’une course interrompue après 180 tours en raison de la pluie.

89/102
Photo de: Michael Kim
Parti 16e, Dan Wheldon remporte les 500 Miles d’Indianapolis et apporte ainsi une première victoire longtemps attendue par Michael Andretti, le pilote au plus grand nombre de tours menés pour un non-vainqueur. Mais ce jour-là, le Britannique fut éclipsé par la quatrième place d’une certaine Danica Patrick…

90/102
A l’époque, la deuxième arrivée la plus serrée de l’Histoire, Sam Hornish Jr. étant revenu après un arrêt aux stands raté, il parvient a dépasser Marco Andretti dans la dernière ligne droite alors que le pilote de 19 ans semblait parti pour briser la « malédiction Andretti ».

91/102
Photo de: Dan Boyd
L’Écossais Dario Franchitti remporte son premier Indy 500 sous la pluie battante. Tony Kanaan menait lors d’une première averse peu après la mi-course, mais la décision de relancer l’épreuve le privait d’une victoire qui commençait à lui faire trop souvent défaut…

92/102
Photo de: Bill Watson – IRL
Parti de la pole position, le Néo-Zélandais s’impose en dominant l’épreuve, malgré un retour de Vitor Meira en fin de course.

93/102
Photo de: Andy Sallee
Helio Castroneves avait dû rater le début de la saison en raison d’un procès pour fraude fiscale, mais au final il parvient à s’imposer une troisième fois, devant une foule en délire !

94/102
Photo de: Michael C. Johnson
En menant 160 des 200 tours, Dario Franchitti remporte l’Indy 500 pour la deuxième fois, mais sans le terrible accident de Mike Conway à l’aube du dernier tour, il aurait très bien pu être dépassé par le deuxième, Dan Wheldon…

95/102
Photo de: Michael C. Johnson
Sans volant au début de la saison, Dan Wheldon a accepté une offre de son ami Bryan Herta pour piloter sa voiture à Indianapolis et s’impose au final, après l’accident de J.R. Hildebrand dans le dernier tour ! Cinq mois plus tard, Wheldon allait trouver la mort lors de l’épreuve de Las Vegas.

96/102
Photo de: Kenneth May
Troisième victoire pour Dario Franchitti, malgré une attaque de Takuma Sato dans le dernier tour, le Japonais allant percuter le mur.

97/102
Photo de: Jay Alley
La douzième tentative aura été la bonne pour Tony Kanaan ! Le Brésilien remporte l’Indy 500 le plus rapide de l’Histoire, et peut enfin mettre « sa tête hideuse » sur le BorgWarner Trophy !

98/102
Photo de: Jay Alley
Ryan Hunter-Reay devient le premier Américain à s’imposer depuis Sam Hornish Jr. en 2006, et avec la deuxième arrivée la plus serrée de l’Histoire en prime !

99/102
Photo de: IndyCar Series
Tombé à la 30e place après un incident peu après le départ, Juan Pablo Montoya remporte pour la 2e fois l’Indy 500, 15 ans après sa première victoire !

100/102
Photo de: IndyCar Series
De manière absolument incroyable, Alexander Rossi remporte la centième édition de l’Indy 500, en jouant l’économie de carburant, et il s’impose pour sa sixième course d’IndyCar.

101/102
Photo de: IndyCar Series
Cinq ans après sa tentative manquée dans le dernier tour face à Dario Franchitti, Takuma Sato parvient enfin à s’imposer, et devient le premier Japonais vainqueur des 500 Miles d’Indianapolis.

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Photo de: Phillip Abbott / Motorsport Images
Longtemps en difficulté sur ovales, Will Power gravit le Mont Everest de sa carrière en remportant la 102e édition des 500 Miles d’Indianapolis.